Vous aimez L4D, il y a donc un risque que les films de zombies ou traitant d'infections ou de virus vous plaisent, que ce soit un univers auquel vous êtes sensible. Sans être un expert, je connais assez bien cet univers, voilà donc une liste non exhaustive de films (bons et moins bons) à voir (ou pas).
- 28 jours plus tard : Danny Boyle (2002), un commando de défenseurs des animaux attaque un laboratoire de recherche pour libérer des chimpanzés sur lesquels on procède à des expérimentations. Seulement les fameux chimpanzés sont porteurs d'une maladie qui est transmissible à l'Homme et provoque des accès de violence (la maladie est appelée Fureur ou Rage selon les versions du film). C'est le premier film entièrement filmé à la caméra numérique.
Assez bon (voir très bon film) sur le thème des infectés, il porte autant sur le thème de l'horreur que de la décadence de la société occidentale. Il offre un véritable crescendo de violence, et laisse finalement apparaitre des humains sans doute plus monstrueux que les infectés eux-mêmes.
- 28 semaines plus tard : Juan Carlos Fresnadillo (2007), suite chronologique de 28 Jours plus tard, on n'y retrouve néanmoins pas les héros du premier opus. Se déroulant 28 semaines après la pandémie, le film relate l'histoire de "colons" venus réhabiliter la Grande Bretagne maintenant que le virus de la Fureur a disparu. Naturellement, rien ne se passera comme prévu. Film convenable, d'une qualité certaine, il n'arrive néanmoins pas au niveau de 28JpT : pas de satire sociale, stress et pression moins présents, on est plus proche du film d'action mâtiné d'horreur que du film d'horreur pur.
- l'Armée des Morts : Zack Snyder (2004), est un remake du cultissime Zombie de Romero. Le film n'est malheureusement pas aussi "choc" que l'original à mon avis, misant davantage sur la surenchère de gore et d'effets spéciaux et passant à la trappe le gros de la satire sociale omniprésente dans l'original. Seuls quelques vagues "dilemmes" sociaux viennent agrémenter le tout. C'est donc un bon film, mais davantage orienté vers le "divertissement gore" qu'autre chose.
- l'Au-Delà : Lucio Fulci (1981), dans les années 80, le cinéma italien a été très prolifique en "cinéma bis", Fulci est l'un des réalisateur emblématiques de ce mouvement, reprenant allègrement les films de Romero. Néanmoins, ce n'est pas une simple reprise cheap, c'est une forme d'ôde artistique au cinéma gore avec une touche d'érotisme (voir de pornographie). Un film intéressant pour son esthétique qui peut, par certains aspects, rappeler le côté ostentatoire de l'opéra.
- Beyond Re-Animator : Brian Yuzna (2003), quelque peu inspiré de l'oeuvre de H.P. Lovecraft, un enfant est témoin du meutre de sa soeur et de ses parents par un zombie, peu de temps après, un certain docteur West est arrêté. 15 ans plus tard ce jeune homme est devenu médecin et travaille dans une prison, où est détenu un certain West. Au-delà de la haine qui le lie à l'homme, la curiosité scientifique qui l'anime vont les pousser à collaborer, c'est le début d'un immense carnage contrôlé. Assez bonne reprise de Re-Animator, qui plus est agrémenté d'une bonne dose d'humour au second degré (on aime ou pas, vous êtes prévenus).
- Boy eats Girl : Stephen Bradley (2005), Nathan est un adolescent de 17 ans comme les autres, les amours, le saiks, tout ça. Un soir il aperçoit sa petite amie en compagnie d'un autre garçon, il en déduit qu'elle le trompe et se pend... pour se réveiller le lendemain matin avec une sérieuse fringale, qu'il comble en croquant une brute du quartier, qui une fois enterré ne tarde pas à se relever...
- BrainDead : Peter Jackson (1980), film semi amateur, une des pierres angulaires du cinéma gore-comique. La mère de Lionel un adolescent est mordue par un rat-singe de Sumatra, animal maudit, dont on dit que la morsure transforme en zombie. En effet, la femme ne tarde pas à changer, Lionel plutôt que s'en débarrasser et mettre fin à ses jours, tente de créer un remède. L'infection ne tarde pas à se propager, et la maison de Lionel devient bientôt un vrai recueil. Un film dantesque, gorissime (la tondeuse...) et débilissime avec un curé qui fait du kung-fu.
- Chronique des Mort-Vivants : George A. Romero (2008), un film hybride à mi chemin entre le Projet Blairwitch et un film de zombie "lambda". Une groupe d'étudiants en cinéma tournent un film en forêt, ils seront témoins (et filmeront) l'infection au fur et à mesure de sa progression. Assez décevant dans son ensemble tellement le tout est téléphoné. Néanmoins j'ai apprécié la critique de la surmédiatisation et de la manipulation du publique par la désinformation.
- Dance of the Dead : Gregg Bishop (2008), les morts d'une bourgade reviennent à la vie le soir du bal de promotion, affamés, les zombies se ruent vers le lycée pour y dévorer les étudiants. Heureusement, une bande de geeks et d'associaux qui ne se sont pas rendus à la fête apprennent la nouvelle, forts de leurs connaissances en matière de zombies (normal, ce sont des geeks), ils se dirigent vers le bal de promo', bien décidés à sauver leurs petits camarades.
- 28 jours plus tard : Danny Boyle (2002), un commando de défenseurs des animaux attaque un laboratoire de recherche pour libérer des chimpanzés sur lesquels on procède à des expérimentations. Seulement les fameux chimpanzés sont porteurs d'une maladie qui est transmissible à l'Homme et provoque des accès de violence (la maladie est appelée Fureur ou Rage selon les versions du film). C'est le premier film entièrement filmé à la caméra numérique.
Assez bon (voir très bon film) sur le thème des infectés, il porte autant sur le thème de l'horreur que de la décadence de la société occidentale. Il offre un véritable crescendo de violence, et laisse finalement apparaitre des humains sans doute plus monstrueux que les infectés eux-mêmes.
- 28 semaines plus tard : Juan Carlos Fresnadillo (2007), suite chronologique de 28 Jours plus tard, on n'y retrouve néanmoins pas les héros du premier opus. Se déroulant 28 semaines après la pandémie, le film relate l'histoire de "colons" venus réhabiliter la Grande Bretagne maintenant que le virus de la Fureur a disparu. Naturellement, rien ne se passera comme prévu. Film convenable, d'une qualité certaine, il n'arrive néanmoins pas au niveau de 28JpT : pas de satire sociale, stress et pression moins présents, on est plus proche du film d'action mâtiné d'horreur que du film d'horreur pur.
- l'Armée des Morts : Zack Snyder (2004), est un remake du cultissime Zombie de Romero. Le film n'est malheureusement pas aussi "choc" que l'original à mon avis, misant davantage sur la surenchère de gore et d'effets spéciaux et passant à la trappe le gros de la satire sociale omniprésente dans l'original. Seuls quelques vagues "dilemmes" sociaux viennent agrémenter le tout. C'est donc un bon film, mais davantage orienté vers le "divertissement gore" qu'autre chose.
- l'Au-Delà : Lucio Fulci (1981), dans les années 80, le cinéma italien a été très prolifique en "cinéma bis", Fulci est l'un des réalisateur emblématiques de ce mouvement, reprenant allègrement les films de Romero. Néanmoins, ce n'est pas une simple reprise cheap, c'est une forme d'ôde artistique au cinéma gore avec une touche d'érotisme (voir de pornographie). Un film intéressant pour son esthétique qui peut, par certains aspects, rappeler le côté ostentatoire de l'opéra.
- Beyond Re-Animator : Brian Yuzna (2003), quelque peu inspiré de l'oeuvre de H.P. Lovecraft, un enfant est témoin du meutre de sa soeur et de ses parents par un zombie, peu de temps après, un certain docteur West est arrêté. 15 ans plus tard ce jeune homme est devenu médecin et travaille dans une prison, où est détenu un certain West. Au-delà de la haine qui le lie à l'homme, la curiosité scientifique qui l'anime vont les pousser à collaborer, c'est le début d'un immense carnage contrôlé. Assez bonne reprise de Re-Animator, qui plus est agrémenté d'une bonne dose d'humour au second degré (on aime ou pas, vous êtes prévenus).
- Boy eats Girl : Stephen Bradley (2005), Nathan est un adolescent de 17 ans comme les autres, les amours, le saiks, tout ça. Un soir il aperçoit sa petite amie en compagnie d'un autre garçon, il en déduit qu'elle le trompe et se pend... pour se réveiller le lendemain matin avec une sérieuse fringale, qu'il comble en croquant une brute du quartier, qui une fois enterré ne tarde pas à se relever...
- BrainDead : Peter Jackson (1980), film semi amateur, une des pierres angulaires du cinéma gore-comique. La mère de Lionel un adolescent est mordue par un rat-singe de Sumatra, animal maudit, dont on dit que la morsure transforme en zombie. En effet, la femme ne tarde pas à changer, Lionel plutôt que s'en débarrasser et mettre fin à ses jours, tente de créer un remède. L'infection ne tarde pas à se propager, et la maison de Lionel devient bientôt un vrai recueil. Un film dantesque, gorissime (la tondeuse...) et débilissime avec un curé qui fait du kung-fu.
- Chronique des Mort-Vivants : George A. Romero (2008), un film hybride à mi chemin entre le Projet Blairwitch et un film de zombie "lambda". Une groupe d'étudiants en cinéma tournent un film en forêt, ils seront témoins (et filmeront) l'infection au fur et à mesure de sa progression. Assez décevant dans son ensemble tellement le tout est téléphoné. Néanmoins j'ai apprécié la critique de la surmédiatisation et de la manipulation du publique par la désinformation.
- Dance of the Dead : Gregg Bishop (2008), les morts d'une bourgade reviennent à la vie le soir du bal de promotion, affamés, les zombies se ruent vers le lycée pour y dévorer les étudiants. Heureusement, une bande de geeks et d'associaux qui ne se sont pas rendus à la fête apprennent la nouvelle, forts de leurs connaissances en matière de zombies (normal, ce sont des geeks), ils se dirigent vers le bal de promo', bien décidés à sauver leurs petits camarades.
Dernière édition par Nathiel le Mar 19 Mai - 1:04, édité 1 fois